• Avançant nonchalement dans ce couloir endormi
    Ce long dédale que l'on nomme "la vie"
    Grattant furtivement le mur écaillé
    Pour apercevoir des bribes de passé

    Une trace de sang sur le portrait
    Du président, être défait
    Rongé par sa soif de l'argent
    Gagné bien sur illégalement

    Tout va aller sa va aller
    On va rebroder le long passé
    Tissu de mensonges de la société
    On va rebroder le long passé

    Regarde les courbes lubriques
    Observe le destin tragique
    De celui qui ne regarde pas
    Que le bonheur est devant soi...

    A quoi bon chercher
    Ton bonheur dans ton passé
    Il faut oublier, abandonné
    Afin de tout recommencer

    Tout va aller sa va aller
    On va rebroder le long passé
    Tissu de mensonges de la société
    On va rebroder le long passé

    Ecrire une nouvelle page
    Decouvrir le paysage
    Ouvrir les yeux, vivre la vie
    Découvrir tes plus profondes envies

    Je t'aime d'un amour immortel
    Je t'aime a en perdre mes ailes
    Je t'aime d'un amour passionné
    Je t'aime a me faire interner

    Tout va aller sa va aller
    On va rebroder le long passé
    Tissu de mensonges de la société
    On va rebroder le long passé


                          Ne t'inquiete pas sa ira...



    Solar

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  • J'ecrit pour eviter de faire le reste
    La musique comble le vide qui mentoure
    J'angoisse devant un ecran blanc et mon cœur se serre..


    Mon cœur est une éponge
    Je voudrai lui offrir mais quand il boira l'amertume le tueras
    Mon cœur est un poids qui m'oblige a me courber et a m'asseoir
    Mon cœur est un insecte grincant qui grouille sans cesse entre mon ventre et ma gorge
    Mon cœur est un cadavre qui a oublié qu'on l'aimai
    Mon cœur est un fantome qui veu s'accrocher aux vivants
    Mon cœur est aveugle et muet
    Mais il n'est pas sourd
    Alors si tu pense pouvoir le remplir et combler ma brulure
    Si tu croi qu'il pourrait encore te servir a quelque chose
    Que ces mains gelées peuvent encore te réconforter
    Que ces yeux ternent peuvent toujours te rassurer
    Si tu aime mes silence mes soupirs et mes pleurs, mes contresens,
    Mes angoisses et les hurlement que mon cœur etouffe jusqu'à ras bord
    Si tu pense quil pourrait encore te servir a quelque chose
    Alors n'hesite pas :je te le laisse

    Mon cœur est un oiseau mort.....

    Fait par Eleonore :)


    5 commentaires

  • Le bruissement léger
    Des feuilles du peuplier...
    Le craquement soudain
    Et son sourire lointain...

    Le prisonnier s'échappe...
    Il va passer à la trappe
    Sentant doucement s'infiltrer
    Le claquement léger, de l'electricité

    Dans son corp, dans ses os
    Remontant l'échine de son dos
    Et il entend une derniere fois
    Le dernier chant du christ roi

    Le coupable s'était lui...
    Coupable de n'avoir rien dit...
    Pour dénoncer la société
    Qui une fois de plus était bafoué...

                I Don't want to remember...


    Solar



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  • Rappelez vous l'objet que nous vîmes mon ame,
    Ce beau matin d'été si doux
    Au détour d'un sentier une charogne infame
    Sur un lit semé de caillou
    Les jambes en l'air comme une femme lubrique
    Brulante et suant les poisons
    Ainsi qu'une fontaine au rythmique sanglot
    Je l'entend bien qui coule avec un long murmure
    Mais je me tate en vain pour trouver la blessure
    Je suis... dans mon coeur le vampire
    Un de ses grand abandonné au rire éternelle
    Condamné et qui ne peuvent plus sourire.. je suis mort
    Décomposé par la chair putride..
    Je sens le battement nonchalent de mon coeur immaculé
    Contre sa poitrine mainte fois débridé
    Je vois, les années défilé comme l'horloge du temps
    Je vois les anges sourire par devant...
    Où l'orage tenebreux dans un relant extasif
    Dans un plaisir joyeux non moins jouissif
    Le rale rauque de la pâle poussiere de mon ame
    Le cliqueti sourd des chaines du prisonnier...
    Se dirigeant vers un destin tragique...
    A l'aube de la mort, au pied du paradis
    L'abject condamné demande encore la vie...
    Je l'entend, écoute...
    Il pleure... la lame aiguisé...
    Qui l'a martirisée...

                         Ecoute...

    Repris par Solar (mici mr baudelaire)

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  • Bah en fait je vais mettre 2 poeme ici parce que il faut absolument que j'ai des avis mwarf bon c'est parti

    (Bon bah moa jferme ma boosh :x )

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